Je reviens d'un bar où quelques verres furent. La neige se pose, silencieusement, et me berce le long du trajet vers l'appartement. Même chemin, presque un automatisme, car seul le noir profond me fait sortir. Les flocons, cependant, dénotent et proposent l'éphémère. En Belgique, il pleut. La neige, c'est une gloire immaculée pour celui qui sait. La saisir, ouvrir sa bouche, la sentir se poser sur ses joues, se sentir vivre. Le froid réchauffe, c'est pour ça que je suis encore debout... Con!
samedi 5 février 2011
Soirée d'hiver, il fut un temps
Souvent, j'ai l'impression de ressembler à ces vieux personnages de films, ceux qui doraient mon enfance, présageant le temps d'un flash certains modèles auxquels j'allais me conformer.
Je reviens d'un bar où quelques verres furent. La neige se pose, silencieusement, et me berce le long du trajet vers l'appartement. Même chemin, presque un automatisme, car seul le noir profond me fait sortir. Les flocons, cependant, dénotent et proposent l'éphémère. En Belgique, il pleut. La neige, c'est une gloire immaculée pour celui qui sait. La saisir, ouvrir sa bouche, la sentir se poser sur ses joues, se sentir vivre. Le froid réchauffe, c'est pour ça que je suis encore debout... Con!
Je reviens d'un bar où quelques verres furent. La neige se pose, silencieusement, et me berce le long du trajet vers l'appartement. Même chemin, presque un automatisme, car seul le noir profond me fait sortir. Les flocons, cependant, dénotent et proposent l'éphémère. En Belgique, il pleut. La neige, c'est une gloire immaculée pour celui qui sait. La saisir, ouvrir sa bouche, la sentir se poser sur ses joues, se sentir vivre. Le froid réchauffe, c'est pour ça que je suis encore debout... Con!
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